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Michel SORDI
60 ans, marié, 5 enfants

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Articles RÉCents

10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 09:59

Proposition de loi :

Dans le cadre de sa journée d’initiative parlementaire, le groupe UMP a inscrit 3 propositions de loi à l’ordre du jour de la séance du jeudi 5 février. Michel SORDI a cosigné chacune de ces 3 propositions de loi :

Sécurite des installations nucléaires

Michel SORDI a cosigné la proposition de loi de Claude  DE GANAY visant à renforcer les conditions d’accès aux installations nucléaires de base. Il est intervenu lors de la séance en évoquant la dernière intrusion de manifestants sur le site de la centrale de Fessenheim. Il a plaidé pour le respect des sites nucléaires  car « il y va de la sûreté de ces sites et de l’alimentation de nos foyers et de nos industries ».

L’Assemblée Nationale a adopté cette proposition de loi.

Gaspillage alimentaire

Michel SORDI a cosigné la proposition de loi de Jean-Pierre DECOOL visant à lutter contre le gaspillage alimentaire.

Le texte a été renvoyé en commission des affaires économiques.

Maladie de Lyme

Michel SORDI a cosigné la proposition de loi de Marcel BONNOT sur la maladie de Lyme. Ce texte propose des outils en cohérence avec les recommandations du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) avec la mise en place notamment d’un « plan national pour la maladie de Lyme » et la formation des professionnels de santé. Cette maladie touche de plus en plus de citoyens et l’Alsace est l’une des régions françaises les plus exposées.

Le texte a été renvoyé en commission des affaires sociales.

  

Amendement :

 

Maladie de Lyme

Dans la continuité de la proposition de loi sur la maladie de Lyme, Michel SORDI a cosigné un amendement de Marie-Christine DALLOZ consacrant la maladie de Lyme Grande Cause Nationale 2016.

 

Divers :

 

Soins palliatifs

Michel SORDI a cosigné la proposition de résolution de Véronique BESSE visant  à développer la formation, l’information et l’accès aux soins palliatifs sur tout le territoire.

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24 novembre 2014 1 24 /11 /novembre /2014 10:26

Vendredi 21 novembre, le Député Michel SORDI a rencontré le Grand Rabbin de France, Haïm KORSIA, et les représentants du consistoire israélite à la préfecture de Colmar. Pour cet évènement majeur pour notre département, le Grand Rabbin a été accueilli par Monsieur Pascal LELARGE, Préfet du Haut-Rhin.

Lors de cette rencontre, Michel SORDI, prenant la parole, a insisté sur le bénéfice du concordat qui existe dans notre Région et qui est partie intégrante de notre droit local. Il restera très attentif à la défense de ce droit. Pour lui, le dialogue œcuménique est primordial dans les échanges interreligieux.

Le Député a également fait part de ses grandes préoccupations sur le problème des Chrétiens d’Orient qui sont persécutés par des intégristes islamistes et cette situation est profondément intolérable. Il a d’ailleurs rencontré cette semaine à Paris, en tant que membre du groupe d’études sur les Chrétiens d’Orient, le Patriarche Joseph III YOUNAN, primat de l'Eglise catholique syriaque, Patriarche d'Antioche et de tout l'Orient.

Michel SORDI a fait part de son sentiment personnel sur le débat qui s’engage actuellement à l’Assemblée Nationale concernant la reconnaissance de la Palestine. Pour lui, il ne saurait être question de reconnaitre l’Etat palestinien s’il n’y a pas, réciproquement, de reconnaissance de l’Etat d’Israël, avec une volonté de mise en œuvre de la paix de part et d’autre.

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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 17:30

Le député Michel SORDI avait été nommé Président du Groupe d’étude sur le devenir des Zones Franches Urbaines (ZFU) fin 2012 et M. Henri JIBRAYEL avait été nommé Rapporteur. Pendant les 6 mois de travaux de ce groupe d'étude Michel SORDI a notamment fait découvrir la ZFU de Mulhouse à ces collègues parlementaires. L’occasion de souligner le travail remarquable réalisé par les acteurs économiques et les élus, sur le terrain. Le Rapport parlementaire concluait sur les bons résultats d’ensemble des ZFU et les deux députés préconisaient la poursuite du dispositif au-delà du 31 décembre 2014.  

Depuis début novembre 2014, Michel SORDI a participé à trois réunions de travail sur les ZFU dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances rectificatives de 2014. Ces réunions, en présence des représentants des ministères concernés, ont permis de rappeler que les ZFU sont des outils précieux pour la redynamisation économique des territoires. Le Gouvernement est en passe d’accepter les propositions formulées par Michel SORDI (UMP) et Henri JIBRAYEL (PS) afin de pérenniser le dispositif jusqu’en 2020. Dans notre région Alsace cela concerne deux sites, l’un à Mulhouse, l’autre à Strasbourg. Les périmètres des ZFU pourront être revus, à la marge. Michel SORDI a déposé un amendement prévoyant le retour de l’obligation d’une embauche sur 3 d’une personne habitant le quartier d’implantation. D’autres amendements seront également déposés pour adapter le dispositif aux contraintes économiques actuelles afin de soutenir les activités installées dans ces quartiers en difficultés.

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9 novembre 2014 7 09 /11 /novembre /2014 14:44

Le Sénat vient d’adopter par 220 voix contre 118, un nouveau découpage territorial qui tient compte des réalités économiques et sociales des territoires et redonne à l’Alsace son statut actuel, celui d’une région à part entière. Ce texte a été approuvé très nettement par des élus de tous bords, qu’ils soient écologistes, communistes, socialistes, radicaux, centristes ou UMP.

A présent, il appartient à l’Assemblée nationale de se prononcer sur cette réforme. Trois hypothèses de redécoupage des régions sont en débat.

L’union de l’Alsace et de la Lorraine est proposée par certains élus socialistes. Mais en réalité cette hypothèse est désormais caduque. Elle a été rejetée au Sénat par le Gouvernement qui proposera, à l’Assemblée nationale, de revenir à la méga-région. Soutenir que l’Alsace-Lorraine est encore une option est illusoire.

La seconde hypothèse est celle qui a été adoptée en 1ère lecture à l’Assemblée nationale et qui regroupe l’Alsace à la Lorraine et à la Champagne-Ardenne. Notre région, l’Alsace, ferait alors partie d’un territoire vaste comme deux fois la Belgique. Cette méga-région comporterait ainsi plus de 500 lycées. Un tel territoire éloignerait immanquablement les élus des réalités du terrain et fragiliserait le service public de proximité. Un territoire où Strasbourg serait particulièrement excentrée et se verrait sans doute fragilisée dans son statut de capitale régionale.

Enfin, la troisième hypothèse, c’est celle que nous défendons avec le Sénat et qui maintient l’Alsace comme région à part entière. Une région qui ne manque pas d’atouts : sa métropole, ses infrastructures, ses relations économiques fortes entre le Bas-Rhin, le Haut-Rhin mais aussi avec les autres régions voisines, françaises, suisses et allemandes. Une région qui est forte de son identité, de sa culture et de son droit local. Une région qui veut avancer sur la voie d’un nouveau projet de fusion des collectivités locales et servir d’exemple à d’autres territoires.

Ce débat débutera le 18 novembre prochain à l’Assemblée nationale et, comme depuis de longs mois, nous ne nous déroberons pas. Nous continuerons à porter inlassablement la voix des Alsaciennes et des Alsaciens avec toutes celles et ceux qui souhaitent défendre l’Alsace, quelle que soit leur couleur politique. Avec le Maire de Strasbourg, qui a rappelé qu’il ferait le choix de l’Alsace plutôt que la très grande Région Est, mais aussi avec les députés socialistes alsaciens.

Oui, unis, nous serons plus forts et nous appelons les députés socialistes alsaciens à se prononcer clairement en faveur de ce projet adopté par 101 conseillers régionaux et généraux de tous bords. Nous les appelons à relayer cette volonté auprès de leurs collègues du groupe socialiste et les convaincre du bienfondé de ce projet. Nous les appelons à prendre leurs responsabilités dans ce débat si important pour l’avenir des Alsaciens.

L’ambition que nous portons pour notre région et pour notre pays doit nous réunir, doit nous renforcer, doit nous fédérer. Nous proposons aux élus alsaciens de toutes sensibilités politiques de se mobiliser afin qu’au terme du débat au Parlement, la région Alsace ne disparaisse pas.

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 10:40

Le Groupe Socialiste de l’Assemblée nationale a décidé, en amont de l’examen par l’Assemblée du projet de loi de réforme territoriale, de présenter une nouvelle carte des régions françaises en fusionnant notamment l’Alsace, la Lorraine et la Champagne-Ardenne.

 

Ce choix politique des députés socialistes vient contredire l’ensemble des réflexions et travaux qui ont été menés depuis plusieurs semaines.

 

Soucieux de saisir l’opportunité de renforcer la décentralisation et la lisibilité de l’action publique, les élus alsaciens avaient rejeté l’idée du statut quo.

 

-          d’une part l’option de la mise en place du Conseil d’Alsace par la fusion  du Conseil régional et des Conseils Généraux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin a été proposée,

 

-          d’autre part le projet de fédérer l’Alsace et la Lorraine proposé par le Président de la République et le Premier Ministre a fait l’objet d’échanges et de demandes de précisions.

 

Tout a été remis en cause !

 

C’est une nouvelle option qui a été retenue, sans concertation, guidée par les intérêts particuliers de certains responsable socialistes.

 

Cette position est totalement inacceptable.

 

D’abord, cette vision aboutira immanquablement à dénaturer le rôle même de la Région, telle qu’elle existe aujourd’hui. La collectivité régionale perdrait son caractère indispensable de proximité et la connaissance des territoires par les élus.

 

Ensuite, elle porte en elle un risque majeur  pour le statut de capitale de Strasbourg.

 

Aussi,  les élus de la majorité alsacienne s’opposent fermement et unanimement à la proposition du groupe socialiste de l’Assemblée.

 

Ils en appellent au Gouvernement pour respecter le travail fait dans les territoires et favoriser un véritable dialogue, auquel il s’était par ailleurs engagé. Faute de quoi, cela pourrait être, une nouvelle fois, perçu à juste titre par nos concitoyens comme un désintérêt pour l’Alsace pour des raisons uniquement politiciennes.

 

Les élus alsaciens vont continuer, dans le cadre du travail parlementaire sur ce premier texte, mais aussi sur le second relatif aux compétences et qui sera examiné à la rentrée, à se battre pour porter une vision cohérente et efficace de la décentralisation.

 

La réponse passe désormais par la réactivation du projet de Conseil d’Alsace.

 

Ils rappellent aussi aux élus de la majorité présidentielle que l’intérêt de Strasbourg et sa place de capitale européenne et régionale et la défense de l’Alsace méritent autre chose que des postures partisanes. Ils invitent ces élus à se mobiliser aux cotés de la majorité alsacienne, pour faire valoir les intérêts de notre région.  

Philippe Richert, Président du Conseil régional d’Alsace, Guy-Dominique Kennel, Président du Conseil Général du Bas-Rhin

Jean-Louis Christ, Laurent Furst, Arlette Grosskost, Francis Hillmeyer, Antoine Herth, Patrick Hetzel, Frédéric Reiss, Jean-Luc Reitzer, Sophie Rohfritsch, André Schneider, Michel Sordi, Claude Sturni,  Eric Straumann, députés, Françoise Boog, Francis Grignon, Fabienne Keller, André Reichardt Esther Sittler, Catherine Troendlé, sénateurs.

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 12:05

Après des mois de travail de sensibilisation du ministère de la ville, le député-maire Michel SORDI a obtenu le maintien de l’inscription de certains territoires de Cernay dans la liste des quartiers prioritaires de la politique de la ville. La ministre en a récemment informé Michel SORDI par courrier. Il s’agit d’une première bonne nouvelle pour la commune, qui pourra a priori bénéficier de crédits de l’agence nationale de rénovation urbaine (ANRU). Si la phase d’identification des secteurs est achevée, il reste désormais à délimiter les contours exacts des futurs territoires cœur de cible. Le député-maire, qui a déjà sensibilisé à plusieurs reprises les préfets de région et de département sur la  réalisation de la seconde phase de la rénovation du Bel Air, va les recontacter prochainement pour inscrire définitivement le quartier dans ces futurs territoires cœur de cible. Le député-maire est attaché à ce que ce projet de rénovation urbaine, engagé en 2008, puisse aller à son terme dans l’intérêt des habitants. Lors de la présentation du projet global par la ville et Domial, des engagements avaient été pris en ce sens par l’État avec un phasage des opérations. Pour mémoire, la première phase de rénovation s’est étalée de 2008 à 2013 pour un montant total de 12 millions d’euros dont 2,5 à la charge de l’ANRU. Il serait inconcevable que la rénovation du quartier Bel Air reste inachevée faute de crédits suffisants. Aussi, le député-maire sera vigilant à ce que cette première bonne nouvelle soit bien suivie des crédits adaptés de l’ANRU. 

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7 mai 2014 3 07 /05 /mai /2014 16:13

Le député Michel SORDI a sollicité M. François BROTTES, Président de la Commission des Affaires Economiques à l’Assemblée Nationale et Président de la Commission d’Enquête sur le Coût du Nucléaire, afin qu’un déplacement soit organisé en Alsace pour évoquer, sur le terrain, le dossier de la centrale nucléaire de Fessenheim en réalisant notamment la visite du site.

 

Ce déplacement a eu lieu lundi 5 mai. Les membres de la commission se sont rendus tout d’abord à STRASBOURG pour rencontrer M. Philippe RICHERT, Président de la région Alsace, qui a fait part de son inquiétude quant au choc économique que constituerait la fermeture de la centrale. Les élus ont ensuite échangé avec M. Stéphane BOUILLON, Préfet de Région, pour évoquer avec lui de quelle manière l’Etat pourrait compenser la perte d’emplois en cas de fermeture.

 

La délégation conduite par M. BROTTES s’est rendue ensuite à COLMAR pour rencontrer des membres de la Commission Locale d’Information et de Surveillance (CLIS) de Fessenheim présidée par M. Michel HABIG. Le Député a mis en avant le travail remarquable de la CLIS qui est un lieu d’échanges et d’informations privilégié, elle est ouverte à la presse des 3 pays (France, Allemagne et Suisse) et des élus allemands y siègent régulièrement. Les services du Conseil Général du Haut-Rhin ont présenté une étude sur les besoins énergétiques de notre région. Il ressort de cette étude que nous ne pouvons pas nous passer d’un important site de production d’électricité dans la plaine d’Alsace sous peine de ne pas pouvoir garantir la qualité et la quantité d’électricité dont nos industries et les ménages ont besoin.

 

Enfin la délégation est allée en mairie de Fessenheim pour rencontrer les élus de la commune et de l’intercommunalité qui défendent le maintien du site, tout comme Michel SORDI. Puis les parlementaires se sont rendus à la centrale. Le directeur du site, M. Thierry ROSSO, et son équipe, ont présenté une synthèse des travaux réalisés sur le site suite aux visites décennales et aux travaux post Fukushima. L’ensemble de ces travaux a été souligné dans le rapport annuel de l’ASN en 2013 qui classe Fessenheim parmi les sites les plus « sûrs » de France. Les députés ont enchainé avec la visite de la centrale pour constater de visu les travaux évoqués, puis ils ont enchainé avec un entretien avec l’Intersyndicale.

 

Les Députés Michel SORDI et Eric STRAUMANN, tout comme le personnel de la centrale, ont demandé la prolongation de l’activité pour dix ans de plus sur le site conformément à l’autorisation délivrée par l’ASN et contrairement à la volonté affichée par le chef de l’Etat de fermer la centrale fin 2016, et ce afin de laisser suffisamment de temps pour préparer sereinement la transition énergétique.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:19

Je dénonce des méthodes de voyous utilisées par l’association Greenpeace lors de l’opération « commando » menée contre la centrale nucléaire de Fessenheim.

Une fois de plus les  « marchands de peur » essaient de surfer sur une action à « sensation » pour véhiculer dans les médias leurs revendications en s’appuyant sur la désinformation du parc nucléaire en France.

Je rappelle que grâce à l’énergie nucléaire, aujourd’hui en France, nous avons :

  • Une électricité la moins chère d’Europe et deux fois moins chère que nos voisins allemands ;

  • Ce prix bas est bon pour la compétitivité de nos entreprises et le pouvoir d’achat des ménages ;

  • L’indépendance et la sécurité énergétique du pays. En effet l’approvisionnement en uranium provient essentiellement de pays membres de l’OCDE (Canada, Australie…) et nous disposons de deux ans et demi de stock d’uranium pour le fonctionnement de nos centrales mais seulement d’un mois de stock pour le pétrole ou le gaz ;

  • Le respect du protocole de Kyoto (lutte contre les gaz à effet de serre) par la France là où nos voisins (l’Allemagne produit deux fois plus de CO2) qui utilisent les usines à charbon polluent l’air en Europe (cf. le pic de pollution aux particules fines que nous venons de connaître).  

  • Enfin la fermeture de Fessenheim entrainerait la suppression de plus de 2.000 emplois directs et indirects, ce qui serait un coup dur porté à notre économie locale.

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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 21:00

Lors des auditions du jeudi 27 février 2014 de la commission d’enquête relative aux coûts de la filière nucléaire, Michel SORDI, Député Maire de Cernay, a proposé à François BROTTES, Président de la Commission, un déplacement à Fessenheim avec tous les membres pour y visiter la Centrale Nucléaire. 

La commission d’enquête devant en particulier se pencher sur la fermeture éventuelle et le démantèlement du site de Fessenheim, cette visite sur le terrain apparait pour Michel SORDI comme incontournable et indispensable.

Ce déplacement sera l’occasion de faire constater par ses collègues l’ensemble des travaux de sûreté réalisés et qui la classe parmi les centrales les plus sûres de France.

Michel SORDI ne peut qu’espérer une suite favorable à sa demande étant donné que des visites d’autres sites nucléaires sont déjà inscrites au planning prévisionnel de la commission.

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11 février 2014 2 11 /02 /février /2014 14:14

L’Assemblée Nationale a institué une commission d’enquête sur le coût de la filière nucléaire, au mois de décembre 2013. Le Député Michel SORDI a été élu Vice-Président de cette commission d’enquête.                     

 Commission d'enquête coûts de la flière nucléaire : M. Manuel Baritaud, analyste Electricité de l'AIE ; Mme Gwenaëlle Huet (GDF-Suez) et M. Claude Turmes (député européen écolo) ; M. Philippe Van Troye (Electrabel) et de M. Eric de Keuleneer, professeur Commission d'enquête coûts de la flière nucléaire : M. Manuel Baritaud, analyste Electricité de l'AIE ; Mme Gwenaëlle Huet (GDF-Suez) et M. Claude Turmes (député européen écolo) ; M. Philippe Van Troye (Electrabel) et de M. Eric de Keuleneer, professeur

Depuis le 9 janvier 2014, la Commission enchaine avec des auditions tous les jeudis.

Plusieurs acteurs du nucléaire ont déjà été auditionnés (EDF, Areva, Universitaires, élus…) pour entendre tous les avis sur le dossier.

De plus, la commission a tenu à pouvoir comparer le modèle français avec ses voisins européens, ainsi des personnalités venant de Belgique et de Grande Bretagne ont déjà été auditionnées.  

(vous pouvez retrouver les auditions de cette commission sur le portail vidéo de l'Assemblée Nationale: http://videos.assemblee-nationale.fr/commissions)

 

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